• Pfizer espère que le vaccin sera approuvé en octobre
• Les résultats de l'indice PMI américain dépassent les attentes
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Les indices européens ont terminé la dernière session de la semaine en baisse, suite notamment aux PMI européens indiquant un ralentissement de la reprise économique. Les entreprises ont continué à réduire l'emploi et la croissance des nouvelles entreprises a diminué après la forte hausse de juillet. Les investisseurs restent également préoccupés par la deuxième vague d'infections COVID-19. Hier, l'Italie a enregistré 845 nouveaux cas, ce qui représente la plus forte augmentation quotidienne depuis le mois de mai. La France a enregistré près de 5000 nouvelles infections, un niveau jamais vu depuis le mois de mai. Pendant ce temps, les négociations autour du Brexit se sont enlisées sans aucun progrès, les deux parties ne parvenant pas à s'entendre sur les questions clés. Le DAX 30 a chuté de 0,5 %, le CAC 40 de 0,3 % et le FTSE 100 a terminé en baisse de 0,2 %. Sur la semaine, le DAX 30 a perdu 1,1 %, le CAC 40 a chuté de 1,35 et le FTSE 100 a baissé de 1,4 %.
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Ouvrir un compte DÉMO GRATUITE Téléchargez notre application mobile Téléchargez notre application mobileLes indices américains se négocient légèrement à la hausse, le Nasdaq, à forte connotation technologique, ayant atteint un nouveau record historique, les données de l'indice PMI des services et de l'industrie manufacturière étant plus fortes que prévu. Les chiffres d'aujourd'hui ont montré que l'activité du secteur privé américain a connu sa plus forte croissance depuis un an et demi. Un autre rapport a montré que les ventes de maisons aux États-Unis ont augmenté à un rythme record pour un deuxième mois consécutif en juillet et que les prix des maisons ont atteint des sommets historiques. Les investisseurs ont également salué la nouvelle selon laquelle le vaccin de Pfizer sera soumis à un examen réglementaire en octobre. Pendant ce temps, les tensions entre les États-Unis et la Chine continuent de monter alors que l'administration Trump a refusé jeudi de reconnaître tout projet de rencontre avec la Chine concernant la première phase de l'accord commercial.
Les contrats à terme du brut WTI ont chuté de 2,5 %, passant sous les 41,5 dollars le baril, et le Brent de 2,6 %, passant sous les 43,74 dollars, en raison de la médiocrité des dernières données PMI en Europe, de la baisse des importations de pétrole brut en provenance de l'Inde et du renouvellement des restrictions face au Covid-19, qui ont suscité des inquiétudes quant à la reprise de la demande. En outre, un rapport interne de l'OPEP+ a montré qu'elle s'attend à ce que la demande de pétrole chute de 9,1 millions de bpj cette année, soit 100 000 bpj de plus que les estimations précédentes. Toutefois, si la deuxième vague d'infections se propage à la Chine, à l'Inde, à l'Europe et aux États-Unis au cours du second semestre, la demande pourrait même baisser de 11,2 millions de bpj. Par ailleurs, certains membres de l'OPEP seront contraints de réduire leur production de 2,31 millions de barils par jour pour compenser leur récente surproduction.
Les métaux précieux ont été sous pression aujourd'hui pour une troisième session consécutive, les spécialistes des matières premières indiquant qu'une résurgence du dollar américain est le responsable le plus probable de la récente tendance à la baisse des cours de l'or. Le cours de l'or a chuté de 0,9 %, à environ 1 933 dollars l'once, tandis que l'argent a chuté de 3,5 %, à environ 26 dollars l'once.
USDCAD - la paire a rebondi de la résistance de 1,3234, qui est en outre renforcée par la MM200 (ligne rouge) et teste actuellement un support important au niveau de 1,32. Si la tendance baissière devait persister, le prochain support à 1,3137 pourrait intervenir. Source : xStation5
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