Face aux critiques croissantes, le ministre de l'Économie, Antoine Armand, a insisté sur le fait que le budget 2025 ne relève pas de l'austérité, mais bien d'un plan de redressement. Selon lui, les efforts budgétaires de 60,6 milliards d’euros visent à stabiliser les dépenses publiques, sans pour autant compromettre les services essentiels. Le gouvernement prévoit une réduction de 41,3 milliards d’euros de dépenses, notamment avec la suppression de 2 201 postes dans la fonction publique, dont 2 030 au sein de l’Éducation nationale, une décision qui a provoqué la colère des syndicats.
Le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, a souligné qu'une baisse des effectifs est justifiée par la diminution prévue du nombre d’élèves dans les prochaines années, affirmant que la bonne gestion des finances publiques implique une adaptation aux besoins réels. Toutefois, cette explication n'a pas apaisé les inquiétudes des syndicats, notamment la CFDT, qui dénonce un budget jugé injuste socialement. Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, s'interroge sur la répartition équitable des efforts, estimant que les plus fragiles risquent de porter le poids des mesures.
Investissez dès maintenant ou testez notre démo gratuite
Ouvrir un compte DÉMO GRATUITE Téléchargez notre application mobile Téléchargez notre application mobileEn parallèle, le patronat, représenté par le Medef, craint une possible refonte des allègements de cotisations sociales qui pourrait nuire à la compétitivité des entreprises. Patrick Martin, président du Medef, a exprimé ses préoccupations, redoutant des pertes d'emplois significatives. Malgré ces tensions, le premier président de la Cour des Comptes, Pierre Moscovici, a défendu le budget en affirmant que la rigueur budgétaire n'est pas un défaut, mais une vertu, compte tenu de la détérioration des finances publiques.
"Ce contenu est une communication marketing au sens de l'art. 24, paragraphe 3, de la directive 2014/65 /UE du Parlement européen et du Conseil du 15 mai 2014 concernant les marchés d'instruments financiers et modifiant la directive 2002/92 /CE et la directive 2011/61 /UE (MiFID II). La communication marketing n'est pas une recommandation d'investissement ou une information recommandant ou suggérant une stratégie d'investissement au sens du règlement (UE) n°596/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 sur les abus de marché (règlement sur les abus de marché) et abrogeant la directive 2003/6 / CE du Parlement européen et du Conseil et directives 2003/124 / CE, 2003/125 / CE et 2004/72 / CE de la Commission et règlement délégué (UE) 2016/958 de la Commission du 9 mars 2016 complétant le règlement (UE) n°596/2014 du Parlement européen et du Conseil en ce qui concerne les normes techniques de réglementation relatives aux modalités techniques de présentation objective de recommandations d'investissement ou d'autres informations recommandant ou suggérant une stratégie d'investissement et pour la divulgation d'intérêts particuliers ou d'indications de conflits d'intérêt ou tout autre conseil, y compris dans le domaine du conseil en investissement, au sens de l'article L321-1 du Code monétaire et financier. L’ensemble des informations, analyses et formations dispensées sont fournies à titre indicatif et ne doivent pas être interprétées comme un conseil, une recommandation, une sollicitation d’investissement ou incitation à acheter ou vendre des produits financiers. XTB ne peut être tenu responsable de l’utilisation qui en est faite et des conséquences qui en résultent, l’investisseur final restant le seul décisionnaire quant à la prise de position sur son compte de trading XTB. Toute utilisation des informations évoquées, et à cet égard toute décision prise relativement à une éventuelle opération d’achat ou de vente de CFD, est sous la responsabilité exclusive de l’investisseur final. Il est strictement interdit de reproduire ou de distribuer tout ou partie de ces informations à des fins commerciales ou privées. Les performances passées ne sont pas nécessairement indicatives des résultats futurs, et toute personne agissant sur la base de ces informations le fait entièrement à ses risques et périls. Les CFD sont des instruments complexes et présentent un risque élevé de perte rapide en capital en raison de l'effet de levier. 76% de comptes d'investisseurs de détail perdent de l'argent lors de la négociation de CFD avec ce fournisseur. Vous devez vous assurer que vous comprenez comment les CFD fonctionnent et que vous pouvez vous permettre de prendre le risque probable de perdre votre argent. Avec le Compte Risque Limité, le risque de pertes est limité au capital investi."